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- Par linéament, j’entends une surface topologique fermée à N-1 dimensions (et donc de volume nul en ceci qu’il est d’aire non nulle mais d’épaisseur nulle), surface définie dans l’espace à N dimensions de l’univers qui la contient.

- Par linéament de la monade, j’entends l’interface qui sépare son milieu intérieur de son milieu extérieur. Ou plus précisément encore, l’interface qui sépare son corpus de son habitus dans son univers englobant.

- J’entends caractériser cette interface comme un filtre entropique bidirectionnel entre milieu intérieur et milieu extérieur, en tant qu’il est un lieu d’échange de flux entropique, c’est-à-dire indissociablement un lieu d’échange d’énergie (de flux énergétique) et de hasard (de flux stochastique), autrement dit un lieu d’échange d’in-formation au sens étymologique du terme, un lieu d’échange de mise-en-forme, de trans-formation, de trans-in-formation.
Zoeroteux
Képhique

Nota : Le "phusis" grec est issu du verbe grec "phuomai[8]" ou"fuomai" ("φυομαι"[9]) au sens de "qui a le sens du souffle", de "la vie" qui deviendra la racine du mot "physique". Son équivalent est la racine indo européenne antérieure "bhu" [10] signifiant "croitre", "être"
L'action, au sens du partage, en grec, est "méros" (μερος)[67] , ou "moira" (μοιρα) [68] partie, sort, partition. Moira est en Grèce la loi de partition imposant à chaque personne son lot de bien et de mal.
Pour Platon les Moires [69] chantent le destin des hommes, composé de leur part de bien et leur part de mal.
Platon dans la République dira : "Les Moires sont filles d'Ananké" ("θυγατηρας τες αναγκη" ou "Thugateras tes anankes" [70] ), Anagté ("αναγκη"[71]) est la "nécéssité" ou "la contrainte"
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